Nom : Elisiana Empyréa Cer Skyyaria Del'ill ( Empyréa suffit généralement, Ramia pour les intimes)
Âge (Humain) : 24 ans
Sexe : Jument
Race : Pégase
Cutie Mark : Un œuf d'or et de lumière, entouré de nuages noirs d'ou fulmine la foudre.
Talent : Créer la foudre et les orages. Elle est capable de suivre la préparation d'un orage depuis le début, d'évaluer sa puissance avant même qui commence à gronder dans le ciel et même de prédire là ou la foudre va tomber. On dit que les orages qu'elle supervise sont les plus puissants et le plus beaux de tous.
Milieu social : Duchesse de Cloustales
Métier : Poney météo spécialiste.
Lieu de résidence : Un manoir à Clousdales
Personnalité : Empyréa est une personne assez timide avec les inconnus, c'est quelque chose qui avec le temps lui passe, mais il lui sera difficile de parler avec quelqu'un lors de la première rencontre. Surtout s'il s'agit d'un homme, car pour une raison que elle seule connait, elle à peur du sexe fort, se montrant extrêment craintive dès lors qu'elle parle à l'un d'eux. Comme avec les inconnus, c'est une peur qui passe au fur et à mesure qu'elle connait d'avantage la personne, mais elle reste bien présente malgré tout. La surprotection de sa mère ne l'aide pas à se débarrasser d'une telle peur.

Plutôt joyeuse le reste du temps, elle aime bien la compagnie d'amies, même si elle n'en n'a pas beaucoup dans le fond. Élevée dans une culture noble, elle se comporte comme tel, bien éduquée, recherchant la perfection qui fait tout le caractère des gens de hautes lignés. Douce, elle sait se montrer forte, surtout au travail ou elle souhaite faire honneur à sa famille. Sa famille se faisant une spécialité des projets météo de grande ampleur, tel les tornades et les plus grosses tempêtes.

Timide certes, mais oubliez ce coté d'elle lorsqu'elle est en colère. Dans ces moment, elle e montre franche, un peu trop même. Oubliant toute peur dans son cœur, elle pose alors sur la table les choses telles qu'elle sont ! Le reste du temps, elle sera peut-être soumise mais ne se laissera pourtant pas faire. Ce n'est pas parce que l'on est une jument que l'on est fragile !

De part son éducation, elle a été formée aux armes de la noblesse qui la vue grandir, sachant manier le fleuret et la rapière. Ce n'est pas un domaine ou elle excelle, mais elle si débrouille, restant dans la norme. Elle se montre très attentionnée avec son père, depuis que celui si c'est retrouvé dans l'incapacité de voler suite à un accident, il est le seul homme dont elle n'a pas peur.

Histoire : La nuit est terminée, une ombre se lève. C'est un vieux pégase, fatigué, fragile, les ailes brisées reposant entre de nombreux bandages. Le réveil est difficile, ses yeux restent fermés un long moment avant que le soleil levant oblige les paupières à se levées. Il voudrait y retourner, là-haut dans le ciel, mais il ne peut quitter son lit, blessé, malade. Il regarde dehors, observant sa fille partir pour cette cité dans les nuages. Il songe, pense au passée de cette dernière, sa fille unique qu'il aime tant. Peut-être cela agira comme un vieux dictame, lui redonnant la force de sourire. Finalement c'est lui qui était resté, son ami Zeus étant partit avant lui. Alors il songe, pense au passé, fait alors comme ces vieillards qui vivent perdu dans leurs propres souvenirs. Que peut-il faire d'autre de toute manière ? Il a déjà fini tout les livres que l'on lui a apporté. Observé tout les recoins de sa chambre par ennui, alors il ressasse, encore et encore, songeant cette fois à sa seule fille, unique et tendre enfant.

« Je me souviens encore de tout, ma mémoire n'est encore corrompue. Malgré mes blessures, je leurs donnerai encore tout mon amour. Ma fille, je l'ai vue naître, je l'ai vue grandir, je l'ai aimé, et je continue de le faire.Ma femme, mon aimée, le jour ou j'ai appris qu'elle était enceinte, je n'ai pas montré la moindre once de joie. Pourtant mon cœur battait on ne peut plus fort à cet instant. Lors de sa naissance, j'avais souri, un rayon de soleil qui entrait dans ma vie, illuminant mon existence. Je l'ai nommé Empyréa, une nom plein de sens qui faisait honneur à la beauté de l'enfant. Une ravissante fillette alors la couleur d'un mauve clair et aux yeux tout aussi beaux. Je m'était alors dit, je ferais tout pour elle, à ce moment là.

Elle grandie, lentement au fil des saisons, puis des années. Dans notre famille l'on est toujours entraîné tôt, notre spécialité oblige. Nous sommes chargé des plus gros phénomènes météorologiques, tel les tornades, typhons, ou les orages d'été. C'est pourquoi dès l'âge de vol, chaque enfant de notre famille apprend les rudiments du métier qui nous incombe. C'est un travail bien dangereux, mais il faut quelqu'un pour le faire.

C'est donc dans cet esprit que ma fille à été élevée, je lui ai toujours demandé une certaine perfection au entraînement pour qu'elle le fasse à son travail plus tard. Elle dois me succéder à la tête de la famille, ça aussi je lui ai enseigné.

Le jour ou en revenant de son entraînement, elle m'a montré cette heureuse nouvelle. Une Cutie Mark, la sienne destinée aux orages et au tonnerre. Par le plus grand des hasards, chaque même de notre famille à une spécialité dans ce domaine météorologique. Je suis doué avec les typhons, ma femme avec les blizzards, heureux de voir que jamais le bruit du tonnerre ne fera peur à mon enfant. Mais si ce n'est pas cette peur, s'en est une autre, pourquoi avoir si peur des étalons ? Je l'ignore elle n'a jamais voulut m'en parler, tant qu'elle n'a rien fait ou vécu de grave, tout va bien, je lui fait confiance.

Elle avait maintenant presque 24 années désormais, lors de ce fameux jour. Devenue une ravissante jeune femme, magnifique comme sa mère. C'était un de ces jours comme les autres, au contrario que mon frère était chargé du passage d'une tornade. J'ai eu raison de partir avec lui ce jour là, il fut emporté par la force venteuse que lui-même avait créé. J'ai voulu l'aider, mai je n'ai pas pu le sauver et au contraire je me suis moi-même mis dans le pétrin. M'écrasant alors lourdement sur le sol, la douleur me fit perdre connaissance. Me réveillant alors dans un lit d'hôpital, sans plus pouvoir mouvoir mes ailes que faisait ma fierté autrefois.

Ma fille à du reprendre la maison familiale plus tôt que prévu, cela ne fait maintenant que quelques semaines. Elle se débrouille comme elle le peut, c'est en forgeant que l'on devient forgerons n'est-ce pas? »

Tel est l'histoire de ma fille et la mienne, mais j'y pense désormais, il n'est pas sûr que je puisse la voir souvent. Elle vient prendre les rennes de la famille comme des ses nouvelles fonctions orageuses. Subir deux grandes épreuves en même temps, je ne peux que l'encourager d'avantage, je prie pour qu'elle ne se fasse pas étouffée pour ses nouvelles fonctions. Elle est courageuse, donc je ne m'inquiète pas, vole haut ma fille, je resterais derrière toi le temps qu'il le faudra.





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