• Nom : Gretel Grimm.

• Âge : 17 Années.

• Sexe : Jument.

• Race : Licorne.

• Cutie Mark : Des fils suspendu dans l'air, tenant entre leurs mains un poney, ou plutôt une marionnette, aux yeux remplacé par de sombre bouton noirs. Un poney fait de bois et des clous. Rien d'autre qu'un pantin. Ses crins sont charbonneux. Sa robe est d'un blanc éclatant.

• Talent : La magie noire existe depuis la nuit des temps. Et pourtant elle garde tous ses sombres secrets que certains tentent de percer en le maniement. Grimm ne la manie pas encore elle l’apprend au fil des jours elle se concentre dessus. Elle apprend le contrôle des pantins. Les poupées ou pantins représentent simplement un poney de bois peint, mais le but de cette magie est de grâce à sa magie faire vivre le pantin sans l'animer d'une vie. Le but est de faire d'eux des marionnettes qu'elle peut contrôler en tout circonstance mais Alice n'étant pas assez puissante ne peux pas faire ce qu'elle veut et devra donc beaucoup s’entraîner pour arriver à très bien les contrôler. Mais il y aura des dégâts physique et psychologique comme des pertes de mémoires fréquentes, des grandes fatigues, des haut-le-cœur, etc. Perte de la vue (elle baisse), blessure réelles. C’est le problème de ce genre de magie, rien n’est gratuit. Sa magie ne peut durer qu'une minute ou deux selon la santé de la jeune licorne. Les pantins cités ne sont là que pour s’entraîner. Elle peut aussi utiliser d'autre de grande taille. Elle ne peut en utiliser qu'un seul.

• Milieu social : Très pauvre.

• Lieu de résidence : Maison délabrée.

• Métier : Marionnettiste.

• Orientation sexuelle : Hétérosexuelle.

• Passions et loisirs : Les poupées et les couples. Elle aime les observer avec envie.

• Rêve ou ambition : Rencontrer quelqu'un de "normal" pour aimer.

• Tics ou manies : Hum

• Caractère : Secrète - puissante - dominatrice - résistante - intuitive - affirmée - charismatique - magnétique - volontaire - audacieux - perspicace - passionnée - créative - indépendante - vigoureuse - généreuse - loyale - travailleur - persévérant - indomptable - possessif - rusé - obstiné - ambitieuse - instinctive - tenace - fière - intense - agressive - destructrice - têtue - angoissée - tyrannique - perverse - sadique - violente - égocentrique - complexe - critique - cruelle - méchante - dure - jalouse - calculatrice- vulnérable - dissimulatrice.

Dans un monde où tout est si petit, si petit, mais hélas si froid, effrayant peu rayonnant. Ou le silence, dans un monde si désert, si…calme. Mais parmi tout ça, là, dans cette bulle impénétrable. Quelque chose aux parois si transparentes tu as bâti ton monde, une bulle increvable où ta voix vibrante d’émotion, chantant tes derniers espoirs et tes rêves oubliés, résonne dans un écho interminable. Comme une danse effrénée, jouant sur le rythme d’une musique endiablée. Mais ta voix ne porte nulle part. Personne ne peut t’entendre. Entendre cet unique son qui sort de ta bouche déformée par la rage et la haine qui ronge ton cœur solitaire. Tu aimerais pouvoir par toi-même brisée cette bulle mais malgré les nombreuses tentatives qui te coûtèrent de si nombreuses choses, il ne se passait rien. L’air en devient irrespirable, tu suffoques, peu à peu tu perds ton souffle, ton cœur s’agite, perd son contrôle évident. Tu fermes les yeux, espérant ainsi te calmer. Mais l’oppression de cette cage de verre commence doucement à faire diminuer l’horloge de ton cœur, chaque minute, chaque seconde s’envole vers l’étendues blanchâtres et somptueux des nuages. Tes lourdes paupières s’entrouvrent pour fixer le vide. Un vide devenu bien trop étroit. Tes yeux si chatoyant se couvre d’un voile gris, mélancolique. Le temps continue de passer, un défilement incessant. Le paysage se couvre d’un manteau blanc. Tu es l’enfant innocent, faignant de ne pas reconnaître sa propre erreur que d’avoir accepté une vie dans un tel monde ingrat, la tête remplie d’un rêve incertain. Mais la solitude qui te tient compagnie chaque jour semble te quitter, non la vie te quitte. Elle laisse la mort t’emprisonner dans ses griffes glaciales. Elle absorbe ta vitalité omniprésente. Tu lâche un soupire fastidieux et tu les observes. Les autres. Ils sont là tous les jours à te dévisager. Comme si tu étais un spectacle intéressant, tu les vois ils essayent de te parler. Mais tu ne les entends pas. Tu vois à travers leurs yeux ébahis ta propre souffrance. Et tu t’imagines à leur place, courant dans l’herbe mouvante, poursuivie par tant d’amis. Rigolant en pleine forêt sous les regards interrogateurs du soleil. Dormir entouré d’un beau monde, parler sans réfléchir aux actes de tes paroles pleines d’ivresses. Et tu te perds une seconde fois dans leurs râles muets incessants. Tu refermes les yeux, cette fois pour de bon pour finalement sombrer dans le sommeil. Et tu te fais mal pour te punir de trahir de ressentir cette liberté. Pour ne plus avoir à hurler te voilà bouche cousue.

• Goûts : Sucre et le luxe.

• Histoire :

Il était une fois dans un monde désolant, sans foi, ni loi pour intervenir, le sang et l’obscurité règnent cotes à cotes en maître. Un monde incertain, brisant les rêves des enfants entre leurs sabots pour ensuite les éparpiller sur le sol. Il faut vivre avec disait-on, ils acceptaient cette nuit éternelle, cette profonde tristesse qui émanait en permanence dans le cœur vide des hôtes. Les autres voulaient le dernier combat celui qui apportera la lumière définitive. C’est parmi cette tension que naît alors Gretel Grimm et Hansel Grimm. D’un père et d’une mère de deux factions différentes. Mais la maladie prive bientôt les deux jeunes poulains d’une mère. Mais il faut savoir vivre avec. Ta seule compagnie reste un frère ignorant et deux étranges poupées à qui tu racontes tes moindres secrets et certains sont bons à ne pas entendre. Tu grandis, on te prive de ton enfance mais aussi de ta pureté. Qui ose donc te faire ça ? Ton père. Ton géniteur. Tu souffres, ton cœur part en lambeaux de chaires putréfié. Il t’oblige donc à te punir de toutes les façons. Tu te laisses faire pourquoi résister ? Tu vis dans la famine tous les jours, elle te tenaille le ventre, te faire perdre des forces. Mais tu continues de te taire. Le temps passe continuellement. Au bas de tes sabots du sang d’un rouge écarlate se repend. Ton sourire se déforme, il est cousu. Comme tes étranges pantins. Puis ce fut la découverte de ta cutie mark, tu t’amusais encore et toujours avec tes deux éternelles poupées. Tu arrivais maintenant autre qu’avec tes sabots à les contrôler un par un, pouvant leurs faire faire des mouvements chacun leurs tours, tout ce que tu voulais. Pourquoi ne plus vouloir ouvrir la bouche, serait-ce pour ne plus te plaindre alors que tu ne le faisais jamais ou simplement pour toi-même te faire souffrir ? Tu sens le regard interrogateur de ton frère sans cesse mais tu ne fais pas attention. Il partira loin de toi, trouvant ainsi une vie meilleur t’oubliant au fil du temps. Tu t’épuise, tu te sens seule comme jamais. Tu cherches et tu ne trouves rien, pas d’endroit différents pas de personne eu doux regards.

• Famille :
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